La fête de Pessa’h ne parle que de la délivrance des Enfants d’Israël à travers le mérite et la sainteté de Moché Rabénou. Et malgré qu’à notre époque, chacun vit encore personnellement cet exil égyptien, c’est à travers les écrits et les conseils du Tsadik de la génération Rabbi Na’hman de Breslev, que nous gardons l’espoir d’être à nouveau délivrés. En effet la valeur numérique de « Na’hman » fait 148 comme le mot « Pessa’h ». Ses paroles revivifient notre âme et nous apportent ce qu’il nous manque le plus dans la vie : la joie dans le cœur.
commentaires de Rabénou sur cette fête si particulière.
La Hagadah, est entièrement commentée mais nous avons dû faire un choix et avons privilégié celles qui étaient les plus accessibles au lecteur.
Le Ma’hzor de Pessa’h est scindé en plusieurs parties :
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